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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 08:44

 

 

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Voici l'histoire d'un enfant  qui demande à son père le secret du bonheur. Alors le père dit à son fils de le suivre ; ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne, le fils à pied. Et les gens du village de s'indigner : "Quel mauvais père qui oblige ainsi son fils à aller à pied !

- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison."

 

Le lendemain, le père installe son fils sur l'âne tandis que lui marche à côté. Les gens du village lancent alors :

"Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied !

- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison."

 

Le jour suivant, ils montent tous les deux sur l'âne. les villageois de dire : "Ils n'ont donc aucun coeur pour surcharger ainsi cette pauvre bête !

- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison."

 

Le jour suivant, ils partent en portant eux-même leurs affaires, l'âne marchant derrière eux. Les gens du village commentent de plus belle : "Voilà qu'ils portent eux-même leurs bagages maintenant ! C'est le monde à l'envers !

- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison maintenant."

 

Arrivés à la maison, le père dit à son fils : "Tu me demandais le secret du bonheur ?

Peu importe ce que tu fais, il y auras toujours quelqu'un pour y trouver à redire.

Fais ce que tu aimes ou ce que tu penses juste de faire, et tu seras heureux."

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 19:40

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Au début de sa vie ce qu'on désire le plus c'est d'être aimé. Ensuite on grandit et on fait des rêves d'enfant, des rêves purs, que l'on construit avec sa vie. Et puis on grandit encore, et la raison nous fait oublier nos rêves, et nos rives d'enfants sont ratatinés, écrabouillés dans un coin de notre cerveau, ils attendent. Alors, à l'âge adulte, si on arrive à les retrouver nos rêves d'enfant, ils deviennent des désirs d'adultes, profonds et sincères. Mais malheureusement on se laisse aller, et les choses moches, pas belles refont surface, et on finit par être le contraire de ce que l'on désire. Alors il faut se battre, tous les jours, pour nettoyer nos rêves d'enfant, contre soi, pour soi. La plus grande liberté que l'on ait, c'est de choisir sa vie, sa voie, ses armes pour livrer cette bataille. Maintenant je sais, plus jamais je n'oublierais mes rêves d'enfant." Daniel NICOLAS

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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 16:45

C'est un poème de Kim et Alison Mc Millen publié en 2001. Des fans brésiliens l'ont attribué à Chaplin
Chaplin a lu ce poème le jour de ses 80 ans

 

 

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Le jour où je me suis aimé pour de vrai


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai compris qu'en toutes circonstances,
j'étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, jai pu me relaxer.
Aujourd'hui je sais que cela s'appelle l'Estime de soi.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
jai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n'étaient rien dautre qu'un signal
lorsque je vais à l'encontre de mes convictions.
Aujourd'hui je sais que cela s'appelle l'Authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
Jai cessé de vouloir une vie différente
et jai commencé à voir que tout ce qui m'arrive
contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd'hui, je sais que cela sappelle la Maturité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai commencé à percevoir l'abus
dans le fait de forcer une situation ou une personne,
dans le seul but d'obtenir ce que je veux,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même
ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle le Respect.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai commencé à me libérer de tout ce qui n'était pas salutaire,
personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme.
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle l'Amour propre.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai cessé d'avoir peur du temps libre
et j'ai arrêté de faire de grands plans,
j'ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que jaime
quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle la Simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd'hui, jai découvert l'Humilité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir.
Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s'appelle la Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon coeur,
elle devient une alliée très précieuse !
Tout ceci, cest le Savoir vivre.

Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter.
Du chaos naissent les étoiles.

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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 20:09

 

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Ô toi qui dors si peu, qui vis presque debout,

Qui n’as pour ainsi dire que très peu de tabous,

Tu séduis le bohème au fond de ta chapelle

En mélangeant la soul au blues du gospel.

 

De tous tes gratte-ciels aux bouches d’incendie,

Et de tes quartiers chics aux couleurs des taxis,

Tu es si familière, si jeune d’émotion,

Que nous avons pour toi tant d’élans d’évasion.

 

Du pont de Manhattan tu parais immortelle,

Tout en toi est lumière, artifice naturel,

Tu sembles tout connaître et tout apprivoiser,

Tu es ville lumière où l’on peut tout oser.

 

Et pourtant quelque part quelque chose a péri,

Une envolée cruelle de petits cœurs meurtris

S’est répandue très loin, aux quatre coins du monde,

En laissant comme trace une couleur immonde.

 

On arpente tes rues une larme à la main,

Pour ne pas oublier ce matin inhumain,

Où d’un bruissement d’aile en long cri arraché,

Tes tours ont succombé comme un papier mâché.

 

Mais toi ville lumière, amoureusement belle,

Tu t’es bien relevée de ce conte cruel,

Et quand je suis venue, que je t’ai enfin vue,

Toi New York City, oui, je t’ai reconnue.

 

Delphine Pisciotta ©

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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 10:35

 

 

Voici un nouveau texte de Sylvie David, magnifique, à lire....

 

 

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Je n'avais aucun autre projet que toi,

Peut être un bouquet de bleuets, quelques freezias,

Je t'ai accompagné dans tous tes tourments, tous tes tracas,

Me consolant de lilas...

Déployé mes ailes, enveloppé de mes bras,

Protégé chaque jour....

Mis le couvert de l'amour,

Bouquet de roses rouges, robe de velours,

Rêvant naïvement qu'il puisse rimer toujours....

Malgré cela tu n'es qu'ombre,

Tes démons mangent chacune des secondes,

Ton temps, tu l'as déjà compté il y a fort longtemps,

Tu ne veux pas de lui, tu me l'as déjà dis,

Chrysalide immonde de mauvais papillon,

Tu réfutes la vie.... Elle ne te va pas,

Costume trop grand, chaussures sans pas...

Plus jamais d'espoir, aucune joie....

Ton sourire est rare, même si je le vois parfois...

Une esquisse....

Une grimace forcée...

Une gerbe de lys, car je te l'ai demandé,

Respire.... Enfin,

Crois-moi...

Je ne peux te laisser....

Trop de pensées...

Cendrillon a perdu sa pantoufle, 

Je tousse, je pleure, je m'étouffe...

Je t’entends encore mais je ne t'écoute plus...

Du bout de mes lèvres les mots sortent confus,

Je ne peux plus... Pardon....

Mon ange noir, mon sombre, mon désespoir,

J'ai fais tout que  j'ai pu..

Allumer ta maison, déguiser le noir...

Tu n'as pas voulu..

Que veux tu que je fasse encore ?

Accompagner ta mère, me perdre avec toi ?

Rejoindre vos chimères,

Et en rester là ?

Bouquet de primevères,

Le printemps est là...

L'automne sonne à mon cœur, 

La vie me tend les bras....

L'abandon n'est pas lâche, il est salvateur,

Beaucoup de courage pour enfin être soi...

De bourgeon je vais devenir fleur..

C'est un peu grâce à toi,

Pétales de rire....

Ver à soie...

Je m'en retourne dormir chez moi,

"Fleurs de glées" chères à mon papa,

Qui ont bercés mes rêves,

Je ne les oublie pas...

Ma sœur, mes enfants,

Ma tendre maman.... 

Lasse d'attendre, il est temps maintenant....

De tourner la page.....Fanés mes 20 ans...

Je prends le large...

 

                                                          Sylvie DAVID ©

 

 

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11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 13:18

 

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Tes Mains

 

J’aurais pu invoquer la magie de tes mots,

Le contour de tes lèvres ou le creux de tes reins,

La beauté de tes yeux, le soyeux de ta peau,

Je me suis inspirée de la douceur des mains.

 

Je me souviens jadis, déjà elles m’enchantaient,

Elles semblaient si belles et pourtant si modestes,

J’inventais des folies, mais je me contentais

D’effleurer  leur contour par de timides gestes.

 

Timides et douces, elles s’approchaient tout bas,

Je ne suis pas surprise du bien qu’elles m’ont fait.

Elles remplaçaient des mots que l’on ne dira pas,

En caressant ma peau avec des doigts de fée.

 

Elles ne sont pas pianistes et ne guérissent point,

Dans leur simplicité elles n’en sont que plus belles,

Mets ta main dans la mienne, compose nos besoins,

Mélange nos secrets en accord avec elles.

 

Je demande ta main au dieu de l’univers,

Avec toute la foi que ma paume détient.

Un baiser sur ta bouche et mes mains en prière,

Pour que tu aies toujours ma vie entre tes mains.

 

Delphine Pisciotta ©

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7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 18:00

Voici mon nouveau livre de poésies qui vient d'être imprimé par "Thebookedition.com"

 

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"Ceci n'est pas un livre, c'est la vie, celle de tous et toutes qui veulent bien se donner la peine de la vivre, sans économie de sentiments, tous ces sentiments qui font de nous des êtres humains..." Béatrice Canovas"

 

 

 

 Voici un très gentil et joli mot de mon ami Patrick SARDOU :

 

Ô magie des mots ! 

Les mots ne se bousculent-ils point à la porte du sentiment ?... pour former une danse incantatoire !

Et le sentiment n'est-il pas infiniment humain lorsqu'il coule comme du miel, en répandant tout l'amour inhérent qu'il peut receler ?

Comme le sentiment est beau et révélateur !… 

Le sentiment voyage ; il se ballade de vers en vers, en magnifiant l’Amour…

Ô magiques images !  

Sous une plume splendide et grandiloquente, des rimes naissent et, peu ou prou se fiancent entre elles… 

Puis les images grandissent et se succèdent pour constituer, au gré des strophes, de véritables tableaux vivants qui ne sont que des pans entiers de vie. 

Ô Beauté souveraine des mots ! 

Voilà comment le mariage des Mots et de la Beauté fait reluire le passé, en mettant en exergue le souvenir…

 

Je m'appelle Poésie...

En lisant ce livre, empreint de cette délicatesse tout à fait féminine, vous serez confronté à cette saga des états d'âme et des sentiments qui composent l’Existence Humaine, et qui sont infiniment les vôtres...

 

 

 

 

 

 

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7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 10:14

 

 

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Voici un texte d'une de mes amies que j'ai trouvé très beau, je voulais vous le faire partager...

 

Ca s'appelle "Pensées sur une Terrasse" et c'est de Sylvie David.

 

 

 

13 heures.... Je m'installe, bon gré, mal gré, sur cette terrasse ensoleillée, au demeurant avenante et peuplée... J'observe... J'écoute malgré moi, les anecdotes tristes ou joyeuses de "leur" vie, lâchées bruyamment et sans aucune réserve ni pudeurs aux chalands... Des rires fusent, des amoureux se frôlent du regard.... Le sourire d'un enfant me fait fondre, une mamy "boite à bisous" me parle du temps qui passe et lâche un soupir... Ahhh ! Lorsque j'étais jeune.... De mon temps....Rien n'était pareil.... Elle est merveilleuse et me fait rire.... Ses jolies rides qui viennent plisser ce beau visage ne viennent pas faire ombrage à ses yeux pétillants de malice.... Elle me quitte et je replonge dans ma bulle..... Un "chasseur" arrive, dans son costume prévisible de "prédateur fashion", une caricature... Bronzage à l'extrême, lentilles façon "green" Tout or dehors, perdu dans sa fourrure de primate, qui déborde de sa chemise bien trop déboutonnée... Une "cagole" au masculin... Il s'assied à coté de moi et sans vergogne m'interpelle... " Mademoiselle, (entrainé le bougre.. ) Connaissez-vous un endroit agréable pour prendre un verre et se restaurer à Marseille... (Il est un peu sur la terrasse d'un restaurant réputé quand même !) Je plante mes deux yeux verts dans son regard de truite et l'occulte en pensant... 1 de QI, deux de tension le monsieur... Vas donc voir ton ami Google, le Prince Pas Charmant, vieux beau de pacotille.... Comment lui faire comprendre à "ken", de façon polie, qu'il devrait rester sur sa page de magasine... Je suis venue là pour respirer un peu et il me pompe tout mon oxygène... Mon silence parlera pour moi, il s'en va. Je pense..........., je me prête à rêver avec mélancolie à cet instant magique, qui l'espace d'un instant suspendra le temps.... Cet instant "d'impact" incontournable où je "saurai" que c'est lui... Une "dégaine", un petit grain de folie peut être, beaucoup d'humour, sa voix sans aucun doute feront que je m'attarderai à n'en plus finir, à discuter à bâton rompu, à refaire le monde dans un éclat de rire.... Une invitation à l'évidence, à continuer la "ballade", de "tours de bottes en caoutchouc" lorsque le ciel tentera de nous rendre maussades, à des promenades en bord de mer à "toucher" l'horizon du bout de nos doigts, qui finiront par s'entrelacer pour ne former qu'un, dans la plénitude et la sérénité, et arpenter ainsi, cote à cote le chemin de la vie....

 

                                                                                                   Sylvie DAVID  ©

 

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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 15:27

 

 

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Un petit extrait du livre de Muriel Barbery que je trouve épatant.

A lire sans modération

 

Si tu oublies le futur tu perds le présent

 

Il ne faut pas oublier les vieux au corps pourri, les vieux tout près d’une mort à laquelle les jeunes ne veulent pas penser (alors qu’ils confient à la maison de retraite le soin d’y amener leurs parents sans esclandre ni tracas), l’inexistante joie de ces dernières heures dont il faudrait profiter à fond et qu’on subit dans l’ennui, l’amertume et le ressassement. Il ne faut pas oublier que le corps dépérit, que les amis meurent, que tous vous oublient, que la fin est solitude. Ne pas oublier non plus que ces vieux ont été jeunes, que le temps d’une vie est dérisoire, qu’on a vingt ans un jour et quatre-vingts le lendemain. Colombe croit qu’on peut s’empresser d’oublier parce que c’est encore tellement loin pour elle, la perspective de la vieillesse, que c’est comme si ça n’allait jamais lui arriver. Moi, j’ai compris très tôt qu’une vie ça passe en un rien de temps, en regardant les adultes autour de moi, si pressés, si stressés par l’échéance, si avides de maintenant pour ne pas penser à demain... Mais si on redoute le lendemain, c’est parce qu’on ne sait pas construire le présent et quand on ne sait pas construire le présent, on se raconte qu’on le pourra demain et c’est fichu parce que demain finit toujours par devenir aujourd’hui, vous voyez ?

Donc, il ne faut surtout pas oublier tout ça. Il faut vivre avec cette certitude que nous vieillirons et que ce ne sera pas beau, pas bon, pas gai. Et se dire que c’est maintenant qui importe : construire, maintenant quelque chose, à tout prix, de toutes ses forces. Toujours avoir en tête la maison de retraite pour se dépasser chaque jour, le rendre impérissable. Gravir pas à pas son Everest à soi et le faire de telle sorte que chaque pas soit un peu d’éternité.
Le futur, ça sert à ça : à construire le présent avec des vrais projets de vivants.

 

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 13:12

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KARUKERA

 

 

Je te salue Karukera

Ile magique aux belles eaux,

De petit bourg à Sofaia

On boit ton rhum de Damoiseau.

 

A St François t’es la doudou

Qui nous prépare un colombo

Avec parfois des Touloulous

Et pour bisou un gros ti bo.

 

A Baie Mahault t’es Antillais,

Le sable blanc est sous tes pieds,

Tu bois du rhum vanillé

Sans craindre le mancenillier.

 

Le seul Saintois au salako

Goûte un lambi assaisonné,

Accompagné de noix de coco

Et d’un ti punch bien citronné.

 

Dans la douceur de l’Anse à l’eau,

Près du chemin de Dubédou,

Je lance au loin mon paréo

Et plonge au fond comme un ouassou.

 

On voit au loin la Soufrière,

Que les nuages ont épousé,

On prend le temps de ne rien faire,

Juste à cueillir des balisiers.

 

Le colibri danse des ailes,

Pour être ainsi insaisissable.

Tu es la vie de l’arc en ciel

Aux coloris si incroyables.

 

Je te salue Karukera,

Je suis ton arbre voyageur,

Je suis aussi Ravinala,

                                                                       Un éventail venu d’ailleurs.

 

                                                                                                             Delphine Pisciotta ©

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  • : Mon blog est destiné à découvrir la poésie. Amoureuse des voyages je vous ferai aussi partager mes escapades au bout du monde.
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